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Blog Galeries des artistes » Galeries des artistes » Domination / soumission (7) : sécurité
13.08.2009 14:11:50
 

Evoquons à présent la notion de sécurité.

 

Les jeux ont une limite, celle fixée par le soumis, celle du supportable. Pour que cette limite puisse être reconnue, le soumis doit pouvoir arrêter à tout moment le jeu. Par quel moyen ? Un mot ou un geste prédéfini. C'est le safeword, dont Wikipedia rappelle ainsi l'usage : "Dans un souci d’éviter toute confusion avec d’éventuelles suppliques qui seraient simulées dans le cadre du jeu SM, les partenaires conviennent en général d’un « mot magique » qui sera sans ambiguïté reconnu en tant que safeword verbal." La discussion de Wikipedia fait intervenir Maîtresse Françoise à propos de ce safeword en ces termes : "Puis le fameux mot de passe, bon faut bien en parler de ce satané mot de passe, on devrait le mettre dans le dico bdsm pour les nuls. Alors pas la peine d’en faire une dissertation juste à employer pour les inexpérimentés. Car si on est bien à l’écoute de l’autre on n’en a pas besoin. C’est comme aller voir un film à suspens en connaissant la fin. Les masochistes sont d’autant plus excités et jouissent d’autant plus qu’on a l’art de cultiver ce suspens, de faire peur, juste ce qu’il faut. S’il ou elle sait qu’il ou elle peut arrêter à tous moments cela n’a plus d’intérêt bien évidemment. Comme la plupart ne savent pas observer, écouter le corps qui parle, suivre les regards, faut bien les laisser se convaincre qu’il y a un mot de passe, en tous cas sans moi." Pratique qui n'est pas unanimement partagée, mais qui doit se remplacer dans ce cas par une excellente connaissance des limites du soumis. L'approximation n'est pas de mise, il s'agit d'une surveillance de tous les instants. Et bien souvent ce safeword existe réellement.

Il est même fortement recommandé : P. Khayyam en explique sur cette page de manière très détaillée son importance. "parmi les mots échangés entre les protagonistes lors d'une « scène » BDSM, tout ce qui n'est pas safeword est jeu." Autrement dit, tout mot sollicitant l'arrêt, la pitié, n'est là que pour faire partie du jeu. Le safeword est la seule condition à un arrêt de celui-ci. Le mot "safeword" lui-même peut-être le safeword. Il a ainsi le mérite d'être compris de tous, même lors de participations autres que celle du couple dominant/dominé seul. Si la personne ne peut s'exprimer verbalement, un autre signe doit pouvoir lui permettre d'arrêter le jeu à tout moment. P. Khayyam propose un trousseau de clefs ou une clochette que le soumis laissera alors tomber à terre.

 

 

Autre notion de sécurité à laquelle certains sites peuvent faire écho : celui du bon choix pour le soumis de son maître. Vanilla-not insiste beaucoup sur ce point et définit des règles de sécurité à appliquer pour la première rencontre et pour la première séance. Peur du loup ? Surtout crainte que certaines personnes se disant là pour dominer n'abusent de la crédulité de personnes inexpérimentées, que certains "maîtres" ne se changent en tortionnaires, voire, avec ce fait divers rapporté par le site, que le "maître" ne soit qu'un meurtrier. J'évoque le pire, bien sûr. Mais, dois-je le préciser ?, juste parce que cela existe : il ne faut pas faire d'un cas une généralité, heureusement...

 

Pour revenir sur ces règles de sécurité mentionnées par Vanilla-not, certaines se rattachent au bon sens : on ne va pas n'importe où avec n'importe qui sans un minimum de précautions préalables. Ce que l'on ne fait pas dans la vie courante, pourquoi le ferait-on dans le cadre du BDSM ? Un peu de bon sens et de réflexion sont donc tout à fait de mise.

Aller en page 8 : rencontre


Publié par steph
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Commentaires#2 Posté le 26.01.2013 19:21:27 par (1 posts)

YfZUeYesoH

Avoir deux chaines de te9le9visions Catholiques coetruencns serait un peu idiot. Connaissant un peu le milieu de la te9le9vision, je peux vous assurer que le budget de fonctionnement d'une te9le9 pour e9mettre est assez e9norme. (millions d'euros juste pour e9mettre, sans compter le fond) Pourquoi le multiplier par deux ? N'y a-t'il pas des solutions plus optimise9es, l'e9glise n'est pas riche, soyons efficace dans nos de9penses. La solution ne serait-elle pas plutot d'ame9liorer l'existant ?Emmanuel Pic, il n'y a plus de fre9quence TNT disponible. KTO a e9te9 rejete9 par le CSA au moment de l'attribution de la licence. Le CSA a e9te9 attaque9 et a perdu comme le dit cet article mais il n'y avait plus de fre9quences disponibles e0 ce moment la.Les prochaines fre9quences, si je ne me trompe pas, seront attribue9es e0 la mort de l'analogique. (le site web de KTO dit 2012, j'ai lu 2015 autre part)Le site de KTO dit qu'il ne souhaitent pas aller sur la TNT pour le moment pour des raisons de manque de place et pour des raisons financie8res. Si nous voulons une chaine Catholique sur la TNT, la solution la plus simple reste d'e9crire e0 nos e9veques et e0 KTO en proposant de financer cet effort.