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Récits érotiques

14.10.2010 15:32:15
La sodomie selon l'enquête sur la sexualité des Américains interprétée par Slate (et ce que j'en pense)

Je vous ai fait grâce des résultats de l'enquête sur la sexualité des Américains parue dans The journal of sexual medicine, parce que tant en ont parlé, tant d'articles ont été écrit que je n'allais pas m'amuser à recopier ce que vous pouviez lire ailleurs. Bref, pour recontextualiser, ce que révèle entre autres cette enquête, c'est la progression de la sodomie dans les pratiques sexuelles.


Hier, Dj. pour ne citer que des initiales, m'envoie un courriel avec l'url d'un article sur le sujet. Je lis donc l'article en question, paru sur Slate. Tout va bien jusqu'à la fin du texte. Parce que là, j'ouvre de grands yeux sur l'interprétation donnée d'après les pourcentages fournis par l'étude.


Si tant de femmes disent avoir eu un orgasme, explique cet article, alors même qu'il y a eu pénétration anale, c'est parce que les pratiques sexuelles au cours de cette relation ne se sont pas limitées à la pénétration anale. (Je fais une parenthèse, mais ce qui est valable pour la pénétration anale est tout de même valable pour la pénétration vaginale : ne vous contentez que de ça, directement, et attendez-vous à avoir un orgasme... non, évidemment, ça ne marche pas comme ça.) Donc, l'auteur de conclure, et jusque là tout semble très bien (ou presque parce que le terme de « périphérie » m'interpelle quand même, comme si LA solution miracle était la pénétration vaginale et le reste juste autour, moins important) : «Et ce sont toutes ces activités périphériques qui ont permis à ces femmes de jouir; la sodomie c'était juste une pratique parmi d'autres. » La sodomie est bien sûr une pratique parmi d'autres, pas la panacée non plus, pas LA solution pour atteindre l'orgasme. Il faut un tout, et pas seulement une pénétration anale.


La suite est par contre étonnement étrange. Je cite : « Alors pourquoi le sexe anal a-t-il autant fait gonfler les stats? Aucun rapport, en fait. C'est dans l'autre sens qu'il faut chercher l'explication: les femmes qui ont obtenu ce qu'elles voulaient étaient davantage susceptibles de céder aux désirs de leur partenaire. Ce n'est pas la sodomie qui a mené à l'orgasme. C'est l'orgasme qui a mené à la sodomie. » On en revient au fait que la sodomie ne peut être que tolérée par les femmes, un peu contre leur regret, celles-ci ne cédant à la pratique qu'en remerciement en quelque sorte, après avoir eu un orgasme. Donc la sodomie, d'après l'article, n'est pas une pratique favorisant la jouissance mais une soumission de la femme aux désirs masculins. La sodomie est reléguée au-delà, bien loin de ce qui était nommé « activité périphérique », c'est quelque chose qui ne fait alors pas partie de la relation sexuelle mais qui intervient après coup. L'homme essaie de faire jouir la femme pour réussir ensuite à lui imposer un coït anal.


Je suis ébahie devant une telle compréhension des relations entre un homme et une femme.


La sodomie est une pratique sexuelle qui peut faire éprouver du plaisir, si tant est qu'elle est choisie et réalisée dans la douceur. Que l'on puisse jouir lors d'une sodomie est donc tout à fait envisageable, comme l'on peut jouir lors d'une pénétration vaginale, d'une masturbation, d'une pression sur le périnée, d'un cunnilingus, etc. Il n'y a pas une façon pour une femme d'avoir un orgasme, mais un ensemble de façons d'y parvenir, une façon prenant le dessus sur d'autres à certains moments, tandis qu'à d'autres moments ce sera une autre pratique. L'essentiel étant de ne pas essayer de n'emprunter qu'un seul chemin et toujours le même, mais de multiplier les sensations.


Ce sont les couples qui ont multiplié les contacts, les caresses, les pratiques et qui donc ont pu inclure la sodomie au rang de celles-ci qui se trouvent ainsi dans ces pourcentages. Les femmes qui disent avoir un orgasme lors d'une relation où il y a eu coït anal se placent tout simplement dans une vision diversifiée de la sexualité où la pénétration vaginale n'est pas la fin en soi et le reste considéré comme pratique annexe périphérique pour reprendre le qualificatif utilisé dans cet article.



Publié par steph | Ajouter un commentaireAjouter un commentaire | CommentairesCommentaires

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06.08.2010 13:17:45
« Foin du point G ! », texte de Ian Kerner

Je vous laisse découvrir l'argumentation de Ian Kerner, docteur en sexologie clinique, concernant le point G, dans son livre Elle d'abord... Petit guide à l'intention des hommes pour faire plaisir aux femmes (éd. Les presses libres, 2006), pp. 75-77. Il s'agit du chapitre 11 du volume... « Parlons un peu du mythique point G. A partir du méat urinaire, s'enfonçant jusqu'à une profondeur de cinq centimètres dans la vessie, l'urètre sert d'abord et avant tout à l'évacuation de l'urine. L'urètre est entouré d'un corps spongieux qui se remplit de sang durant l'excitation et qui le protège contre la friction de la pénétration. Cette zone de tissus spongieux est aussi connue sous le nom de point G, ainsi baptisée en 1944 en l'honneur du docteur Ernst Graffenberg, qui l'a décrite comme une « zone érogène [???] située le long de la surface sous-urétrale de la paroi vaginale antérieure. » En termes plus simples, le docteur Kinsey a écrit : « La plupart des femmes qui ont perçu une réaction ont constaté que la sensibilité était circonscrite en un certain point, généralement sur la paroi supérieure du vagin, tout près de l'entrée de celui-ci. » Malgré tout le cas qu'on en fait, le point G pourrait n'être rien de plus que les racines du clitoris qui croisent l' « éponge urétrale ».

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04.08.2010 09:26:39
Ces hommes qui portent de la lingerie féminine

Le sujet peut interloquer. Les hommes qui portent la lingerie féminine, la leur ou celle de leur femme, ne sont pourtant pas des cas rares. Ou du moins cela existe, il suffit de se pencher un peu sur des forums, des annonces pour s'en rendre compte. Ainsi celui-ci qui raconte : « Ma femme déteste porter un porte-jarretelles ; par contre moi j'adore ça et je m'en prive pas ! » ou encore celui qui affirme : « Voilà, moi j'ai d'abord essayé le p-j de ma femme et j'ai tout de suite aimé la sensation avec bien sûr des bas de nylon et par la suite, je m'en suis procuré à ma taille.... J'adore porter ces types de vêtements, je me sens sexy et cela m'excite en même temps.... »

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22.07.2010 09:26:29
"Impressions sur une première expérience de trio avec un couple, 1ère expérience bi également", un témoignage de Vic

Vic avait lu le précédent témoignage sur le triolisme et m'avait promis de rédiger son propre témoignage dès qu'il aurait expérimenté une partie à trois, puisqu'il souhaitait alors tenter cette expérience... Chose faite, chose promise, texte écrit : Impressions sur une première expérience de trio avec un couple, 1e expérience bi également. - Pour une première, c'est un sacré programme. Pourquoi avoir placé la barre si haut ? En fait, je m'approche de ma 5è décennie de vie, et je dois faire ce qu'on appelle la « crise de la quarantaine », j'ai ressenti le besoin de me prouver que je peux encore me lancer des défis et découvrir des sensations inédites pour moi. En effet, ma vie sexuelle a plutèt été tranquille jusqu'à maintenant (première expérience à 25 ans, une seule partenaire à ce jour). Comme beaucoup (j'imagine), je fantasme sur une expérience à 3 (plutèt avec 2 femmes à la base). Et comme j'apprécie que ma partenaire joue avec mon anus et que je suis excité par les secrétions de mon sexe lorsque je lèche ma co-coïtante après avoir joué à la caresser de mon membre viril, je me suis dit que c'était aussi l'occasion de tenter quelques jeux avec un homme, mais je ne me sentais pas de le faire sans femme dans la partie. {...]

Publié par steph | Ajouter un commentaireAjouter un commentaire | CommentairesCommentaires (0)
01.07.2010 12:59:23
Ils aiment ou n'aiment pas les sextoys et le racontent

Stan. Pas trop gros quand même. « J'aime bien les petits jouets qui restent des jouets. J'y vois une confiance de la part de ma partenaire, une envie de partager quelque chose. En revanche, les gros godemichés qui reproduisent la forme d'un sexe (en cinq fois plus gros), je déteste. C'est pas très glorieux d'avouer ça, parce que ça montre bien les limites de l'assurance que j'ai en moi et ça fait remonter le vieux démon de la jalousie... » Grégoire. De temps en temps « Une petite folie de temps en temps, oui, ça me plaît, mais si ma copine arrive systématiquement avec son engin pour faire l'amour avec moi, je le prendrais mal : on ne va pas à Strasbourg avec sa saucisse ! »

Publié par steph | Ajouter un commentaireAjouter un commentaire | CommentairesCommentaires (0)

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